Alors, attention, là, on va nous vendre du rêve !!!
Le dispositif n’est pas nouveau mais le moins que l’on puisse dire est qu’il s’était fait discret jusqu’à présent !
Tout commence en 2015 avec quelques 220 places de stationnement partagé. Le principe ? développer l’autopartage…mais différemment.
On connaissait bien Autolib, on l’avait même adopté et puis pshittt, faute de rentabilité, en 2 temps 3 mouvements, la flotte de voitures électriques avait disparu de la circulation fin 2018.
Connu donc depuis 2015 sous le nom de Service de Véhicules Partagés (VST), le service répond désormais au doux sobriquet de Mobilib et met à disposition des véhicules à partager (pas en même temps hein, quoique…) « en boucle » (c’est-à-dire à ramener là, où on l’a pris).
Plutôt destiné aux longs trajets, il faut donc quand même prévoir de revenir un jour au point de départ… et pendant tes courses…et ben , t’es bon pour nourrir l’horodateur !
En quelques chiffres, Mobilib c’est :
- 1213 places réservées dans la capitale (500 pour véhicules thermiques, 700 pour véhicules rechargeables et électriques)
- 4 opérateurs pour se partager le gâteau, Ada, Communauto, Ubeequo et Drivy
- Xx€…le tarif ! Pas très clair ? Hum, c’est normal, ça ne l’est pas 😊
Et oui, c’est vrai ça, combien ça coute ?
Et bien ca dépend (ca dépasse) ma bonne dame ! De l’opérateur, du modèle utilisé, de ton abonnement (ou pas), de la durée et du kilométrage…bref, à moins d’avoir fait Polytechnique, tu ne peux pas savoir combien va ta couter ton trajet.
Bon bon bon, sous couvert de nous mettre à disposition un nouveau moyen de transport qui va nous permettre de 1/ ne plus utiliser notre véhicule pour de 2/ réduire les gaz polluants, on met en place un dispositif qui 1/est complexe d’utilisation, 2/ ne compte pas que des véhicules électriques, 3/ supprime toujours et encore des places de stationnement où nous pourrions laisser notre petite automobile sans nous prendre un PV à coup sur tous les jours….. Et bien j’espère que les bénéfices du dispositifs vont être à la hauteur des désagréments !
Mais comme on dit, on va quand même laisser sa chance au produit (de toute façon, on n’a pas le choix) …avec tout de même un p’tit a priori. Bref, to be continued.